L’Enquête nationale auprès des diplômés de 2010 de Statistique Canada révèle que la grande majorité des diplômés de l’université, qui étudient au Canada, sont employés avec des revenus décents trois ans après l’obtention de leur diplôme. Ce sont d’excellentes nouvelles pour les étudiants étrangers qui envisagent un visa d’études ou une expérience d’immigration au Canada.
Cela n’a pas été une surprise lorsque la nouvelle enquête sur les diplômés, regroupant 21.000 bacheliers de 41 universités, qui a été remplie 6-7 ans après leurs convocations de 2006 et 2007, a révélé qu’ils avaient un taux d’emploi de 96%, avec une variation légère des taux d’emploi entre les disciplines, et un revenu médian de $ 63,000.
Cela a également réaffirmé la présence d’un écart entre les sexes. Les revenus médians pour les femmes ont été signalés à 60.000 $, comparativement à $ 70 000 pour les hommes.
Cependant, l’aspect le plus frappant de l’enquête était la vaste gamme des salaires en fonction des diplômes. Un rapport sur l’enquête (du Canadian University Baccalaureate Graduate Outcomes Project) montre que, bien que la plupart des diplômés trouvent un travail, ceux qui entreprennent des programmes d’études spécifiques sont beaucoup plus susceptibles d’obtenir des emplois bien rémunérés. Le rapport comprend un tableau qui montre le bénéfice pour la 25e à 75e percentile des étudiants par type de diplôme. Selon le rapport, les diplômés en sciences humaines obtiennent les revenus les plus faibles, allant de 40.000 dollars à 65,000 dollars. Les salaires les plus élevés ont été faits par les diplômés en génie, qui avaient tendance à gagner entre $ 65,000 et $ 100,000. Les diplômés d’affaires se sont classés entre les deux, avec des salaires de $ 55,000 à $ 90,000.
Selon l’enquête, plus de 10% des diplômés des sciences humaines et de l’enseignement avaient un emploi à temps partiel alors que presque tous les diplômés en génie et en affaires étaient en emploi à temps plein. Cela implique un « sous-emploi » pour les diplômés des sciences humaines et de l’enseignement.
L’enquête a également révélé que les taux d’emploi sont similaires indépendamment du fait que les diplômés sont des minorités visibles, les étudiants de première génération (premier de la famille à fréquenter le collège ou l’université), vivant dans certaines régions ou parlant français. Toutefois, l’enquête a indiqué que les diplômés handicapés sont moins susceptibles d’être employés – seulement 90% de ces diplômés ont trouvé un emploi par rapport au chiffre global de 96%.
L’écart salarial entre les sexes a également été établi- les jeunes femmes qui sont bonnes en mathématiques à l’école secondaire sont deux fois moins susceptibles que les jeunes hommes qui sont bons en mathématiques de choisir des domaines STEM lourds en mathématiques (sciences, technologie, ingénierie, mathématiques et informatique de la science). Cela met également l’emphase sur les résultats obtenus, selon lesquels les diplômés des STEM gagnent souvent plus que les autres diplômés.
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Source: Macleans